Annecy Festival 2025 : Notre récap du 1er jour

Première journée d’Annecy Festival pour l’équipe de Konata Nekoyama ! Et nous pouvons le dire… Cette première journée regorgeait déjà de pépites, entre The Girl Who Stole Time, Olivia et le tremblement de terre invisible et Arco… Zoom sur une journée bien riche sous le soleil d’Annecy Festival !


Olivia et le tremblement de terre invisible

Long-métrage en compétition officielle

Véritable découverte de cette édition, la cinéaste espagnole, Irene Iborra Rizo nous offre avec Olivia et le tremblement de terre invisible, une dramédie lumineuse douce-amère. Nous suivons la jeune Olivia, 12 ans, qui voit sa vie basculer lorsque sa famille (sa mère Ingrid et son petit frère Tim) se retrouve expulsée de sa maison et plongée dans une extrême pauvreté. Bien que porteur de thématiques et de sujets particulièrement durs (drame social, pauvreté, dépression…), ce film brille et rayonne par la bonté de ses protagonistes ainsi que par la douceur et la créativité de son récit, qui ne sombre jamais dans le défaitisme. Ajoutons à cela une animation en stop-motion soignée et fluide, qui arrive aisément à nous transporter dans cet univers. Nul doute (et nous l’espérons) qu’il ne repartira pas les mains vides du festival ! (Jojo Tout Cour)

Annecy Festival - Olivia et le tremblement de terre invisible
Olivia et le tremblement de terre invisible.

À lire aussi : Annecy Festival 2025 : La sélection officielle des longs-métrages


The Girl Who Stole Time / Endless Journey of Love

Séance Annecy présente

Woah! Juste woah! Pour ne citer que Le Royaume des Abysses ou encore La Guerre des Dieux, nous savons à quel point l’animation chinoise ne cesse de s’étendre dans nos contrées, et avec elle, des œuvres audacieuses et solides aussi bien narrativement que visuellement. Et il est clair que The Girl Who Stole Time fera clairement parler de lui, aussi bien pour les mauvaises que pour les bonnes raisons. Entre Interstellar et Crazy Kung-Fu, aussi dingue qu’Everything Everywhere All at Once, cet audacieux long-métrage nous entraîne dans le destin de la jeune Qian Xiao, qui se retrouve accidentellement en possession d’un Cadran du Temps, et de Seventeen, membre d’une organisation criminelle dont la mission est de récupérer cet artefact sacré.

Aussi dingue visuellement que narrativement, The Girl Who Stole Time est une pépite dans tous les sens du terme, aussi bien dans ses excès d’animation et de mise en scène pharamineux et complètement gratuits que dans sa narration, qui nous embarque dans une aventure badass, portée par des protagonistes attachants. Il est clair qu’on adhère à fond, ou alors absolument pas. Mais pour nous, c’est drôle, c’est fun, c’est absolument zinzin et badass… C’est sur-validé ! (Jojo Tout Cout et Yohan Ledoré)

ARCO

Long-métrage en compétition officielle

Ce film est visuellement magnifique au niveau des décors, qui peuvent faire penser à du René Laloux. Dans un futur plus ou moins lointain, le jeune Arco, contre l’avis de sa famille, décide d’utiliser la combinaison de sa grande sœur pour voyager dans le temps et voir les dinosaures. Il va se retrouver propulsé en 2075 et devra trouver un moyen de rentrer. Pour ce faire, il pourra compter sur l’aide de la jeune Iris et d’un trio aussi loufoque qu’attachant rappelant les Totally Spies en version masculine. Arco est une fable futuriste, poétique et questionnant notre futur, au niveau de notre humanité et de notre sensibilité à l’écologie : la version animée d’E.T., l’extra-terrestre, à voir en famille. (Yohan Ledoré)

Annecy Festival - Arco
Arco.
Konata Nekoyama aime

La nouvelle série de Kyoto Animation
En streaming chaque dimanche sur Prime Video

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suivez-nous
Konata Nekoyama aime

La nouvelle série de Kyoto Animation
En streaming chaque dimanche sur Prime Video

La nouvelle série de Kyoto Animation
En streaming chaque dimanche sur Prime Video